L’écriture automatique est un mode de communication établie avec un défunt, qui permet de recevoir des messages de l’au-delà, par le biais de la transcommunication.
Concentré sur le souvenir du défunt, le sujet abandonne sa main et se met à écrire, comme mue par un être invisible.
Le mouvement ainsi créé par des entités désincarnées, peut être vif, nerveux ou au contraire très lent.
Cette pratique nécessite une croyance particulièrement forte en l’existence d’un autre monde, d’une autre dimension, et croire que la mort n’est peut-être pas la fin de la vie et qu’il peut y avoir une continuité dans l’énergie qui nous habite.
Avant d’entrer dans la pratique de l’écriture automatique, il faut donc avoir une approche personnelle fortement spirituelle.
C’est donc une façon de rencontrer l’invisible, de se connecter à son moi intérieur, son guide ou bien son ange.
L’écriture peut servir au cheminement personnel et psychologique de l’individu, mais elle peut également être utilisée à des fins altruistes. Cette pratique paranormale est très ancienne et devient de plus en plus répandue. Bon nombre de ses pratiquants, souffrant de l’absence d’êtres chers disparus, pensent ainsi retrouver un contact avec ces derniers. Converser avec eux leur permet de vaincre leur tristesse ou leur désespoir, tout en ressentant un certain apaisement. D’autres reçoivent des messages qui ne leur sont pas personnellement destinés, concernant des personnes étrangères.
La seule chose dont dispose le pratiquant, c’est son corps et sa perception. L’homme, en tant que canal, doit donc se mettre en disponibilité de recevoir le message délivré.
Cela nécessite des conditions optimales, comme d’être dans un lieu propice, au silence, avec un éclairage doux. Le praticien doit poser son crayon sur une feuille blanche et laisser son coude levé. En aucun cas, il ne doit le reposer sur la table car ce geste couperait les énergies et les empêcherait d’arriver jusqu’à la pointe du crayon.
Il y a de nombreuses formes d’écriture qui varie selon le type de récepteur, selon le type de message passé. Quand la connexion se produit, la main commence alors à bouger.
Le message arrive soit directement avec des mots, soit avec des traits et des lignes qui, mis bout à bout, forment des mots.
Des gens vont écrire dans leurs propres langues, d’autres dans des langues qu’ils ne connaissent absolument pas.
L’expérience peut commencer !